l'osiryl est un activateur racinaire pas un insecticide, mais pourquoi pas par noyade; en tout cas ce  peut etre bon pour la reprise

j'attend que les températures descende un peu, parce que en ce moment il fait très chaud

Elles sont de retour cette semaine, en bretagne sur un buis dans le jardin.

L'huile de neem ne pourrait-elle pas être une solution ? Son action est plus polyvalente par ses vertus insecticide, acaricide, fongicide et bactéricide...
J'ai la chance de ne pas être touché par la pyrale. Je traité systématiquement les jeunes plants que je me procure (début de collection de cultivars de sempervirens).

J'utilise en complément des extraits fermentés, macérations, infusions et décoctions...
Contre les chenilles defoliatrices, j'utilise de l'infusion d'absinthe pure et en alternance de la macération de rhubarbe pure et de l'extrait fermenté de fougère aigle.
L'huile de neem, quand à elle, est pratique car utilisable sur tout type de culture (ornement, potager, verger...) et maux. C'est une bonne alternative au Frontline sur les chiens, chats, chevaux, poules...
C'est un produit polyvalent intéressant.
Dans le cas de pulvérisation de tout type de produit, il convient de rajouter un agent mouillant pour une meilleure répartition et efficacité.
J'utilise pour cela du savon noir.

Je suis tombé sur un article qui indique que la pyrale du buis pourrait, outre le Buxus, avoir des plantes hôtes secondaires en cas de disette.

On retrouve ce même comportement avec la processionnaire du pin qui s'attaquent aux cèdres (Cedrus atlantica, C. Libani, C. Brevifolia et C. deodara).

Il est cité notamment des fusains ( "Euonymus alatus" et "E. Japonicus") ainsi qu'un houx ("Ilex purpurea").

Il conviendrait donc d'être vigilant à d'éventuelles attaques sur les genres Euonymus et Ilex.

Dans le cas d'attaque sur des plantes hôtes secondaires, la toxicité de la chenille sera étroitement lié à son hôte (bioaccumulation).

Voici le lien :

https://www.google.fr/url?sa=t&sour … 5n9vvCuN7K

oui, c'est fait. c'est efficace.
Ceux sont des buis de jardin. Je ne prendrais jamais de buis en bonsai à cause de cette pyrale.

Après discussion avec un pépiniériste spécialiste du buis, il emploie un piège à phéromone qu'il contrôle tout les jours.

Dès qu'il capture le ou les premiers papillons, il pulvérise du Bacille.

Sur les buis affaiblis (pyrale, cylindrocladium et autres), lui et de grands domaines emploient de l'extrait de consoude avec des résultats bien plus intéressants que les méthodes conventionnelles (soins post traitements, taille, plantation, transplantation).

J'emploie, pour ma part, également de l'huile de neem, du BT en alternance en prévention et lors de chaque introduction de nouveau buis.

J'ai survolé également des documents et retour d'expérience concernant l'emploi d'huiles essentielles comme traitement et confusion odorante.

Sur ce dernier point, monsieur Éric Petiot, mène des recherches depuis un paquet d'année et dispose de nombreuses références, retour d'expérience, connaissance en biochimie...

J'ai arrêté le buis : on m'en avait donné un prometteur, je suis parti à peine plus d'une semaine l'été dernier, quand je suis revenu, tout était pratiquement mangé. Il a périclité mais ne s'est pas réveillé ce printemps, les dernières feuilles vertes sont mortes. Donc, au feu.

Je vais donner le reste de "bacillus trucmuche" à ceux du club qui arrivent à traiter au bon moment.

Je suis allé à la poste près de chez moi l'autre jour, et il a des plantations de buis taillés en cône qui étaient tous attaqués, que ce soit par la pyrale ou autre chose : il semble qu'il y ait d'autres attaques de nuisibles ou de maladies d'après ce que j'ai pu voir sur un jardin de buis en France dans un reportage. Sale temps pour les buis...

Mal nommer les choses ajoute à la misère du monde
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