Bonjour,

Normalement, il devrait redémarrer au printemps.

Le seul petit problème que tu pourrais rencontrer, en ayant taillé si tôt dans la saison, c'est un retrait de sève au niveau du premier bourgeon juste en dessous de la taille.

Au pire, une branche, si elle est fine (moins de 3 mm de diamètre) peut mourrir avec une taille précoce.

Pour le reste, patience jusqu'au printemps. 

a+

Amicalement.
Thierry.

Normalement, il devrait redémarrer au printemps.

TomCatSoft : j'ai l'impression que tu t'es mépris sur le sens de sa question : je pense que c'est la partie coupée, en haut, et non la base du tronc avec les racines dont il parle 

Zatane : n'espère pas trop. Ca peut marcher, tout dépend de la section de la bouture et... d'un tas d'autres trucs.
Mais si la "bouture" est en terre, et que la branche reste humide, les bourgeons sortiront sur les réserves de la partie coupée, rien ne dit qu'elle aura fait des racines. En fait, plus tard ils s'ouvrent, plus tu as de chances que l'enracinnement soit commencé, et que donc la bouture survive.
Mais le % de risque que tes bourgeons s'ouvrent, que des feuilles sortent et meurent ensuite est assez important, hélas.
Sinon, je serais propriétaire de la plus belle collection d'arbres issus de boutures que l'on puisse imaginer (notamment des deshojo par exemple) 

Mais n'y touche pas, arrose le pied avec de la "soupe" (hormones diluée dans l'eau), paille le pied pour que les racines puissent éventuellement se développer, mais ne protège pas la partie aérienne pour que les bourgeons débourrent le plus tard possible, qui sait...

Alain

Cette technique de bouturage sur des grosses section fonctionne sur des espèces très volontaires.
A ce jour, j'ai réussi sur du Salix (5 cm de diamètre), du Lonicéra nitida (2 cm), du Malus (bouture à talon, diamètre 4 cm).
Le lierre marche très bien aussi et j'en oublie sûrement.
Comme ça ne coute rien d'essayer, il faut le faire et c'est comme cela que l'on apprend

Salix et lonicera, pas de pb, mais le malus, ça, je ne savais pas. J'ai toujours entendu dire que c'était difficile à bouturer   :   :   :
Tu fais ça avec des variétés "typiquement fruitières", ou celles dont on se sert plus volontiers pour le bonsai (halliana, Evereste,...) ???

Alain

La bouture de charme, il faudrait l'enterrer en entier (dans du sable serait l'idéal). ce serait le seul moyen de la maintenir en vie jusqu'en avril où on pourra tenter alors le bouturage.
Plantée dans le sol comme çà, elle va finir par pourrir à la base...

Merci pour vos reponses! Bon je n'ai pas de sable a portée de main alors je vais laisser comme ca on vera bien, et puis le but c'est juste de ne pas balancer les restes directement a la poubelle avant de faire une experience dessus (bon en meme tant s'il y avait pour tout les arbres un pourcentage de reussite aussi important que pour mes ficus je serai vite submergé par mes "experiences"  )

Mais je vois que rien qu'avec une petite question un peu bete comme celle la on peut apprendre des trucs 

Bonjour,

à propos de boutures : j'ai vu un tuteur de 6 cm de diametre prendre vie et l'arbre planté à coté mourir   :shock:
(je ne me rappelle plus de l'espèce du tuteur)

Surement du saule !! 
A+

Amicalement.
Thierry.

Je sais que le fil est vieux, mais le sujet toujours valable.
Juste pour dire que j'ai fait trois boutures de tailles différentes de mon "acer temporairement platanoides" et que je vous tiens au courant dès que les choses bougent.
J'ai fait une taille en biseau, décollé l'écorce par lambeaux tout autour et trempé dans de l'hormone de bouturage.
J'ai placé le tout dans des pots pour boutures remplis de terreau (de plantation... un vieux stock à finir )
J'ai rentré ces boutures à côté de mon carmona (je me suis dit que le fait de les maintenir trempées en permanence apporterait un peu d'humidité ambiante et qu'il se sentirait moins seul  )
Pour l'instant les bourgeons n'ont pas séché, je prie tous les jours, je n'ai pas d'eau de Lourdes pour l'arrosage, mais la notre n'est pas mauvaise. ;D

A+

"Celui qui sait qu'il ne sait pas, éduque le. Celui qui sait qu'il sait, écoute le. Celui qui ne sait pas qu'il sait, éveille le. Celui qui ne sait pas qu'il ne sait pas, fuis le."
Se Ma-fa, Règles, IV ; IVe s. av. J.-C.

"La science mal comprise c'est pire que l'incompétence"

Bien reçu, l'affaire est emballée

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